Caen commentaires récentes :

Ce pont-ci date de la période de la reconstruction. Celui qui apparaît sur les photographies de 1929 fut détruit lors des bombardements. Il était en outre moins large.

Cet orgue est une des 5 plus belles réalisations du facteur de génie Aristide Cavaillé-Coll (organier de Notre-Dame de Paris, de la Madeleine, de St- Sulpice…) Cet instrument est d’esthétique purement symphonique et possède des jeux de fond d’une rare poésie et un tutti de plénitude extrêmement sombre « à la guillaume le conquérant » disait le grand Marcel Dupré. Il dispose de 3 claviers et 50 jeux. Pour connaître sa composition et voir d’autres photos aller sur le lien suivant  http://abbaye-aux-hommes.cef.fr/culture/musique01a.htm

L'église possède un orgue d'esthétique baroque allemande installé en 1987 par J-F Dupont. Instrument de taille modeste (15 jeux) mais de grande valeur, il est un formidable instrument de travail et se trouve exploité par des organistes de renommée mondiale. 3 CD y sont consacrés à faire connaître ce bijoux caché. Composition 1er clavier 2e clavier Pédale Montre 8 Bourdon 8 Soubasse 16 Flûte à cheminée 8 Flûte à cheminée 4 Flûte 8 Prestant 4 Quarte 2 Gemshorn 4 Doublette 2 Sifflet 1 Posaune 16 Plein-Jeu 4-5 rangs Régale 8 Sesquialtera 2 rangs Tirasse II Tirasse I Accouplement I/II Tremblant

L’orgue Haepfer Hermann de l’église St Jean de Caen à été installé suite à la destruction pendant la guerre 39-45 de son prédécesseur au superbe buffet classique. Il se situe dans le transept Nord (attendant en vain d’être remonté sur une tribune qui n’existe plus !) Cet instrument est d’esthétique néoclassique et peut donc servir la majorité du répertoire d’orgue de la musique ancienne aux musiques actuelles. Il dispose de 38 Jeux, en voici sa composition : Grand Orgue : Quintaton 16, Montre 8, Bourdon 8, Prestant 4, Doublette 2, Fourniture IV, Cymbale III, Trompette 8, Clairon 4 Positif de dos : Bourdon 8, Prestant 4, Flûte à cheminée 4, Quarte de Nazard 2, Tierce, Nazard, Cymbale III, Cromorne Récit : Principal 8, Salicional 8, Voix céleste 8, Flûte à fuseaux 8, Principal 4, Principal 2, Principal 1, Fourniture IV, Sesquialtera, Bombarde 16, Basson Hautbois 8, Trompette 8, Clairon 4 Pédale : Principal 16, Soubasse 16, Flûte 8, Prestant4, Fourniture IV, Bombarde 16, Trompette 8, Clairon 4 L’église dispose également d’un orgue de chœur Cavaillé-Coll d’une quinzaine de jeux toujours en état de fonctionnement.

L'édifice n'étant pas protégé au titre des Monuments Historiques (source : SDAP du Calvados), je me suis permis de retirer les lignes souligant, à tort, le contraire.

Reconstitution virtuelle de très bonne qualité disponible sur http://www.unicaen.fr/services/crisi/article.php3?id_article=262

Exilé en France, George Brummell, le “roi des Dandys”, s'installa à Caen en 1830. Ruiné et souffrant de la syphilis, il fut interné au Bon Sauveur en 1838 où il mourrut en 1840. Il fut alors inhumé dans le cimetière protestant.

Monument historique Parties protégées Totalité de l'édifice Protection ISMH, 19/04/1933 Localisation Boulevard des Alliés, avenue du 6 Juin, 14000 Caen Propriétaire Mairie de Caen

Le 3 octobre 2007, un skate-park y a été inaguré.

"La Brasserie restaurant Chandivert, la plus moderne et la plus gai, orchestre tous les jours ... à l'intérieur de l'immense brasserie, l'atmosphère était chaude et vibrante, pleine de rires, de murmures, de musique, du heurt des billes de billard et de verres. Cela sentait la bière, le percolateur et la saucisse de Strabourg ... Le violoniste de Chandivert, qu'il avait écouté près de l'estrade était un jeune homme mal portant, au poil ondulé". Georges Simenon, été 1931.

Le cimetière Saint-Jean abrite les tombes de M. Loyal et d’Arcisse de Caumont. Pierre Claude Loyal (1796-1867) : directeur du cirque national, le vrai, le seul, l’unique M. Loyal repose dans le cimetière Saint-Jean. Clin d’œil de l’histoire et de la nature, un arbre a poussé entre ses pieds. Arcisse de Caumont (1802-1873) : archéologue, fondateur de la Société française d’archéologie, repose dans la même allée.

Cimetière Saint-Jean : 27 ifs 14 vieux : 8 femelles et 6 mâles (entre 1,80 m et 4,30 m) 12 assez jeunes : 9 femelles et 3 mâles 1 jeune : femelle

On y trouve 43 ifs. François Truffaut y tourna "La chambre verte".

Le cimetière des Quatre Nations doit son nom au fait que l’on y inhumait des personnes ayant vécu sur les quatre paroisses environnantes.

En 1897, la commission administrative des hospices vota le principe de la désaffection du vétuste hospice Saint-Louis (entre la rue Saint-Jean et la Prairie), son transfert à l'Hôtel-Dieu (Abbaye aux Dames) et la construction de nouveaux batiments dans les jardins de ce dernier ; cette dernière partie du projet fut rejeté (d'ailleurs le parc a été classé en 1932). On envisagea le clos des Grandes-Coutures mais en définitive l'hôpital fut construit dans le Clos-Vaubenard. L'hôpital Clémenceau a ouvert en 1908. Le manoir fut alors utilisé pour le service de la blanchisserie.

L’Hôtel de Banville a été construit sur une cour ouverte au nord sur le Grand Odon (recouvert en 1862) et au sud sur la rue jean-Eudes en vis-à-vis du séminaire des Eudistes. La cour a été fermée au nord en 2004 du fait de l’extension du centre Paul Doumer sur le passage de l’Odon. La façade sur la cour d’honneur est la plus décorée, mais elle reste sobre et équilibrée comme il était d’usage à l’époque classique. Une deuxième cour se trouvait derrière l’hôtel à l’est ; elle fut intégrée à la rue Paul Doumer quand celle-ci fut ouverte entre 1867 et 1932. La façade sur la rue Paul Doumer est donc beaucoup moins travaillée ; à l’angle entre les rues Jean-Eudes et Paul Doumer, la façade du bâtiment est dépourvue d’ouverture et totalement exempte d’ornementation.

Maison du 16e

L'origine du nom de la rue aux Namps vient d'un mot scandinave signifiant "les gages". Elle était autrefois occupée par les fripiers ; les porches de chaque maisons était reliés formant ainsi une galerie propice à ce commerce (la place Saint-Sauveur était aménagée de la même façon avant le 18e). La maison actuelle a été construite dans la deuxième moitié du 15e. Le rez-de-chaussée est aujourd'hui occupée par la librairie Frérot.

Maison de la première moitié du 17e